lundi 30 mars 2009

Heureusement, on n'est plus Syntec

Avec le taux d'inter-contrats qui augmente, la tentation était forte de faire appel au chômage partiel, tout comme l'ont déjà fait Altran et Alten.

Pour mémoire, le chômage partiel n’est pas « intéressant » pour les entreprises de la métallurgie :
  • en mettant au chômage partiel les ingénieurs et cadres au forfait annuel en heures, elles doivent les indemniser sur leurs seuls deniers à hauteur des dispositions de l’accord interprofessionnel,
  • en mettant au chômage partiel les ingénieurs au forfait-jours, elles doivent les indemniser à 100% sans bénéficier d’aides de l’Etat.

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