mercredi 15 avril 2009

Vont-ils parvenir à la vendre ?


Ils devaient partir fin décembre, puis début mars et ils sont encore là.

Cette cession est subordonnée par l'accord des CHU de Rennes et de Strasbourg. Celui-ci n'est pas encore obtenu.


Les salariés s'inquiètent. Non pas qu'ils voulaient être vendus, mais parce que aujourd'hui, leurs emplois ne sont plus pérennes chez Thales.

MAJ du 23/3. Aujourd'hui, soit un mois plus tard, nos collègues sont toujours dans la même situation : le CHU de Strasbourg n'a pas donné son accord et, nouveauté, il y aurait un problème financier car Thales aurait annoncé des chiffres qui s'avèrent faux (écart de 2Me ?), ce qui refroidirait Medasys (l'acquéreur de la patate chaude).
A part cela, bonne nouvelle pour Olivier Houssin, THALES détient à présent 94,63% du capital de CMT.

MAJ du 15.04. On avait craint que cela ne se fasse plus. Après près de trois mois de discussions, un accord a été trouvé. C'est donc 12 personnes qui avait cru en THALES qui sortent du Groupe.
C'est également, les conséquences d'un management "à la ramasse" qui est parvenu en trois années à tuer l'activité d'Admin Civiles.

7 commentaires:

  1. Cela ressemble à un dossier très bien géré...

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  2. C'est à l'image de la gestion des affaires Santé et e particulier celle de l'AP HP, pour laquelle la responsable de cette activité était parvenue en quelques réunion à se mettre à dos le client.

    Est-ce en raison de cette performance qu'elle fût promue ?

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  3. Thales Services est bien malade !!!

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  4. Thales Services déshonore Thales.
    Ses dirigeants n'ont rien à voir avec le management du Groupe.
    Il est grand temps que le nom de Thales ne soit plus attaché à des pratiques qui le discréditent.

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  5. Il conviendrait de ne pas jeter le bébé avec l'eau du bain.

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  6. Le dossier est à présent entre les mains du COMEX (direction Groupe).
    D'après mes sources, le CHU Strasbourg demande un dédommagement et Medasys refuse de payer les prestations que l'on fait pour eux depuis début 2009.
    Bref faute d'être parvenu à se débarrasser de la patate chaude, on se brûle.
    Mais faudrait pas se la garder cette patate : les emplois de l'équipe santé en dépendent et on serait bien incapable de terminer les contrats en cours.

    Bref, c'est dossier lamentablement géré !

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  7. A t-on du faire un chèque pour se débarrasser de la patate chaude ?

    That is the question ....c'est LA question que toutes les personnes proches du dossier se posent.
    En tout cas, LUCANI, le PDG de MEDASYS, lui est content !
    Et nous, équipe santé, on est bien contents de quitter ce bastringue, même si on ne voulait pas quitter THALES.

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