mercredi 25 janvier 2012
Communiqué La Dépêche : Deux cents salariés de Thales bloquent l'entreprise
Mardi 24 janvier, les sites de Vélizy et Toulouse Basso Cambo ont été bloqués une bonne partie de la journée par les salariés toujours aussi déterminés à faire cesser le projet de vente de BUS. Ci-dessous un article de la Dépêche.
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Les NAO chez Thalès Services commencent encore plus mal que dans la branche Avionics ... à croire que ceux qui viennent faire les propositions lors des NAO ne savent pas lire: Selon la note de cadrage 2012, " le DRH Thales exige l’application des principes généraux suivants :
RépondreSupprimer- La transparence,
- La prise en compte de la situation économique et des perspectives de l’entreprise,
- La préservation du pouvoir d’achat,
- La reconnaissance de l’implication individuelle et collective"
Après avoir eu la chance de voir notre DG Mr Maury nous étalé en long et en large sa vision et ses attentes pour 2012, et nous dresser un tableau plus que positif sur nos résultats 2011, et bien je suis déçu. C'est un affront d'arriver avec de tels chiffres: 1,7% et puis quoi encore! Mr Maury s'est réjouit lors de sa visite à Grenoble de voir des personnes qui avaient du plaisir à effectuer leur travail sur les différents projets qu'il a pu rencontrer, mais je peux assurer qu'avec un tel mépris pour les collaborateurs Thalès, le sourire risque de vite laisser place aux protestations!
En tout cas, cette année encore plus que l'an dernier, nous irons jusqu'au bout pour avoir le fruit de nos efforts. Et oui, cette année nous nous battrons pour quelques euros de plus. Les banderoles sont en cours de préparations, et s'il faut que l'action soit médiatisée pour que la direction assure des augmentations descentes, nous le ferons, et nous ne laisserons pas tomber nos collègues de BUS non plus ...
En effet, les NAO chez Thales Services commencent au plus bas au mépris du travail des salariés et ce,malgré des résultats en croissance. La Direction doit s'attendre à une réaction des organisations syndicales et des salariés. Nous n'e n resterons pas là !
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