EADS vient de mener une enquête interne auprès de ses 120.000 salariés. Les résultats sont jugés catastrophiques par la direction : quatre salariés sur cinq ne se sentent pas impliqués.
Globalement, les résultats montrent que, s'ils sont satisfaits des produits et services vendus par EADS et affichent leur volonté de rester dans le groupe, les salariés souffrent d'un manque quasi général de reconnaissance : leur contribution n'est pas valorisée, la progression hiérarchique est perçue comme très difficile, les idées neuves ne remontent plus.
Et chez THALES Services, c'est à partir de combien que cela devient catastrophique, un sur deux, deux sur trois ?
"...les salariés souffrent d'un manque quasi-général de reconnaissance".
RépondreSupprimerEt bien je reconnais éxactement la même chose pour THALES Services. Et je suis loin d'être le seul dans ce cas. J'estime pourtant faire du bon boulot (un bon petit soldat quoi...). La seule chose que l'on pourrait me reprocher étant de ne pas rapporter plusieurs contrats/an (mais bon, je ne suis qu'ingénieur scientifique).
En fait, le seul argument qu'ils ont lors des réunions annuelles et que les salariés ne devraient pas se plaindre grâce à la convention et aux salaires soit-disant un peu plus élevé que la moyenne. Mais en terme de reconnaissance, c'est vraiment NUL!
Hélas, cet article est cruellement éclairé par ce qui vient de se passer à Chateaubourg.
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