mardi 15 novembre 2011

La CFE-CGC dit stop au hold up sur les classes moyennes !

Ce sont toujours les mêmes qui payent l'addition : les salariés et notamment les classes moyennes.

La CFE-CGC a découvert les mesures d'austérité du gouvernement en direct. Elle, CFE-CGC, déplore que le gouvernement réfléchisse à des mesures de rigueur sans réelle consultation des partenaires sociaux : quel pauvreté, le dialogue social en France !
Les classes moyennes sont aujourd'hui au bord de l'asphyxie : trop de prélèvements, une fiscalité très haute, un "reste pour vivre" rogné en permanence...

La CFE-CGC dénonce la méthode et les choix arbitrés unilatéralement par le gouvernement. La classe moyenne refuse de faire les frais des largesses passées en tous genres. D'accord pour faire un effort mais celui-ci doit être équitablement réparti ! Les rustines annoncées aujourd'hui par le gouvernement démontrent une absence de vision, d'anticipation, d'échange avec les partenaires sociaux...

La question vitale à laquelle ne répondent pas les propositions du gouvernement est : comment relancer la croissance de notre pays afin de recréer de l'emploi local et durable et, in fine, de redonner du pouvoir d'achat à chacune et chacun ?

La CFE-CGC, force de propositions, demande notamment la mise en place d'une cotisation sociale sur la consommation pour financer de façon pérenne notre système de protection sociale, activer la ré-industrialisation et, enfin, redonner des perspectives aux salariés !


Face aux conditions de rigueur annoncées par le gouvernement, la CFE-CGC dit stop !

2 commentaires:

  1. HALTE A LA CENSURE !

    Avant de lancer des messages globaux sans intéret, montrez-nous ce que vous faites concrètement pour les salariés de BUS. Pour l'instant vos pseudo-actions de mobilisation sont ridicules (cortèges "poubelle-porte-voix"), il est temps que des personnes de valeur défendent vraiment les intérets des collaborateurs!

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  2. Les actions sont faites par et avec les salariés de BUS.

    Ne comptez pas sur la poignée de 'syndicalistes' de l'entreprise pour faire à votre place.

    Si vous avez des idées d'actions, exprimez-vous et défendez-les au lieu de jeter des anathèmes.

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