mardi 1 juin 2010

Intéressement, fin des négociations

Alors que selon un rapport du Centre d'analyse stratégique sur l'amélioration de la gouvernance d'entreprise et la participation des salariés remis le 1er juin à Nathalie Kosciusko-Morizet, secrétaire d'État chargée de la prospective et du développement de l'économie numérique, une plus grande association des salariés au fonctionnement et aux résultats de l'entreprise aurait des effets positifs sur les performances économiques ,...
notre Direction a fait ses dernières propositions. L'idée est que, dès que la société dégagera du résultat opérationnel courant (ROC), il y aura de l'intéressement. C'est mieux que les précédentes propositions.

Mais, l'entreprise se montre peu généreuse : entre 0 et 5% de ROC dégagé, les salariés se gaveront en se partageant 5 % du ROC. A nous les pièces jaunes, à eux les 95% restants !

Faut-il accepter cette aumône et signer l'accord ? C'est la question.


ROC = Ventes - coût d’achat des marchandises vendues + Production de l'exercice (vendue, stockée, immobilisée) - « Consommations intermédiaires » (biens & services consommés) + Subventions d’exploitation - Charges de personnel – Impôts indirects

4 commentaires:

  1. Dès que la société dégagera du résultat opérationnel courant (ROC), il y aura de l'intéressement.
    C'est très sain, comme principe.
    C'est mieux que la condition précédente exigeant que tel calcul soit supérieur à tel résultat pour qu'il y ait de l'intéressement.
    Est-ce assez ? C'est toujours mieux que zéro.
    A choisir entre une aumône et rien du tout, il faut bien sûr accepter l'aumône.

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  2. Et si on mutualisait l'intéressement au niveau
    du Groupe ? Comme cela se fait pour la
    participation.
    Renforçant ainsi l'esprit d'appartenance au
    Groupe.

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  3. Y a-t-il eu un accord signé ?

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