Rappelons qu’il s’agit d’un projet qui concerne l’infogérance dite de proximité. Activité qui est jugée non rentable, donc non critique. Même si le directeur de la Division admet que lorsque son PC est HS, c’est critique !Ceci étant, il semble que cette opération ne concernerait que ceux qui font de la proximité dans le Groupe. Quid des derniers mohicans qui font de la proximité ailleurs, la question est posée.
A force d’insister, nous avons obtenu de la direction l’engagement que rien ne serait fait en juillet-août et qu’en juin, nous serions informés sur les grands principes de l’opération. Il faut ajouter, que vu le barouf qui a été fait lors de la cession de l’infogérance d’Aix, ils marchent sur des œufs. Comme quoi, la mobilisation, cela paie !
Tout d’abord, les réflexions qui étaient en cours peuvent évoluer. C’est la conséquence du changement du PDG. Toujours est-il qu’avant que Denis ne soit viré, voici les trois scenarii qui se dessinaient :
- On ne fait rien, comme cela, pas de bordel.
- On fait une JV avec un partenaire, on les met dedans et on externalise le problème.
- On transfère toute l’activité à Thales Corporate Services, qui est un centre de coûts au service du Groupe.
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