Il y a près de dix ans, Thales (alors Syseca) était l'un des intégrateurs majeurs de SAP. Par la suite, un manque de volonté stratégique servie par une succession de managers, plutôt pas bons, a fait mourir cette activité.
De l'équipe qui avait fait les beaux jours de Thales, il en reste un dernier carré dans BS. La Direction actuelle ayant fait le choix de s'écarter du marché des systèmes de gestion, nos derniers mohicans sont approchés un par un en vue de parler de leur avenir professionnel qui serait, leur dit-on, meilleur en dehors de la société.
Il n'y a pas que les Sapiens de concernés : une vingtaine de personnes seraient concernées chez BS.
De l'équipe qui avait fait les beaux jours de Thales, il en reste un dernier carré dans BS. La Direction actuelle ayant fait le choix de s'écarter du marché des systèmes de gestion, nos derniers mohicans sont approchés un par un en vue de parler de leur avenir professionnel qui serait, leur dit-on, meilleur en dehors de la société.
Il n'y a pas que les Sapiens de concernés : une vingtaine de personnes seraient concernées chez BS.
Depuis 20 ans dans la société, Sapien des premiers jours de l'activité et appartenant à BS par jeux des restructurations, je me demande toujours s'il y a un pilote dans l'avion qui connaisse à la fois l'avion, l'équipage et la destination.
RépondreSupprimerEn effet le fossé digne du grand fossé d'Astérix et d'Obélix, grandit d'année en année entre les décideurs, les commerciaux et les opérationnels.
Les restructurations succesives n'y changent rien, que ce soit ceux qui décident ou ceux qui vendent, on se demande toujours s'ils connaissent le potentiel de la force vive de la société; et lorsqu'il trouve une affaire, on s'étonne de voir les conditions car c'est alors la marge (temps ou coup) qui n'est plus en adéquation avec les objectifs de la société....
Désespérant.............